STRATéGIE DE COMMUNICATION
Elle sert à définir les outils et les actions à mener pour gagner en crédibilité et en visibilité.
RéDACTION
Elle permet de créer des textes de qualité, adaptés aux différents outils et transmettant un message clair.
TRADUCTION
Elle a pour but de développer la lecture des informations dans d’autres langues.
REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE
Il permet la valorisation du travail de terrain grâce à l’impact d’images de qualité.
ILLUSTRATION
Elle offre une représentation visuelle permettant de communiquer sur le travail de l’organisation et amène une alternative à la photographie.
LOGO
Ils représentent l’identité visuelle des organisations et facilite sa reconnaissance auprès du grand public.
SITE INTERNET
Il est la vitrine incontournable de l’organisation: facilement actualisable et visible par le plus nombre.
FLYER, DÉPLIANT
Ils permettent de communiquer sur l’organisation à un public cible défini en laissant une trace concrète.
AFFICHE, ROLL-UP
Ils mettent en avant l’organisation et ses activités lors d’évènements ou de campagnes.
RAPPORT, BROCHURE
Ils regroupent et communiquent les activités annuelles ou les thématiques de l’organisation.
NEWSLETTER, RéSEAUX SOCIAUX
Ils offrent la possibilité à l’organisation de communiquer périodiquement avec son public.
DOCUMENTAIRE, VIDéO
Ils amènent une visibilité complémentaire et vivante des activités de l’organisation.
La stratégie de communication permet de développer une communication claire et cohérente. Elle définit l’ensemble des actions de communication, leur déroulement dans le temps et le choix des supports, afin d’obtenir un maximum d’efficacité par rapport aux objectifs fixés pour une cible donnée selon le budget alloué. La période d’action de la stratégie s’établit sur la longue durée (2 à 5 ans), ce qui permet d’avoir des retours homogènes et un temps d’assimilation de l’image par le grand public. Dès la première année, des actions concrètes liées à la stratégie globale sont mises en place. Une stratégie de communication peut développer des éléments très variés:
Une stratégie bien pensée permet de positionner sa communication au plus près de ses besoins, de faire les bons choix en termes d’outils et supports de communication. Ceci est d’autant plus important quand le budget alloué à la communication n’est pas une priorité pour l’organisation qui tente de se développer. Le but est de définir, structurer et coordonner les différentes actions et les supports qui seront réalisés. Cela permet d’obtenir une vision globale des actions déployées sur l’année (site internet, événementiel, presse, etc…) et d’en maîtriser la périodicité, le budget et la réalisation.
Le public-cible, ou la cible, est la population que l’on souhaite toucher par une action de communication. Une organisation peut avoir plusieurs publics cibles (bénéficiaires, bailleurs de fonds, etc) et personnalisera son message selon par cible afin d’augmenter l’efficacité de sa communication.
Le marketing, principalement utilisé dans le secteur lucratif, peut être défini dans le secteur non-lucratif comme l’analyse des besoins du public cible et l’ensemble des moyens utilisés pour influencer son comportement (devenir bénévole, faire un don, etc). Le marketing crée de la valeur autour des actions menées par l’organisation, en fonction du public cible.
Le branding, principalement utilisé dans le secteur lucratif pour définir la marque, peut être expliqué dans le secteur non-lucratif comme la discipline qui consiste à gérer l’identité, la personnalité de l’organisation et en particulier l’image qui va être diffusée.
Les valeurs font référence à l’idéologie morale et pratique de l’organisation. Elles sont inspirées généralement des motivations fortes qui ont initiées la création de l’organisation et se perpétuent dans toutes ses actions. Le courage, le respect, l’engagement, la neutralité, ou toutes autres exemples de valeurs vont permettre de développer l’image, la réputation, l’identité de l’organisation.
La vision permet de définir le rêve, l’idéal à atteindre (correspond à la question – Pourquoi l’organisation existe-t-elle?). La mission explique les moyens, les actions concrètes engagées pour atteindre la vision (correspond à la question – Comment parvenir à réaliser la vision?).
Pour créer une stratégie de communication adaptée il est nécessaire de réaliser en amont un examen approfondi sur l’identité de l’organisation (ses valeurs fondamentales, sa vision, sa mission, ses objectifs prioritaires, …), afin de développer une image et un message forts et adaptés.
Il est rare qu’une organisation veuille toucher une seule cible, néanmoins nous conseillons vivement de donner des priorités aux besoins de communication. Vouloir toucher tout le monde ou des cibles trop différentes peut rendre une stratégie trop complexe et difficilement réalisable.
Cela permettra d’avoir une vue claire sur les différents outils, les différentes étapes à mettre en place, mais également le planning à respecter pour la mise en œuvre de la stratégie, ainsi que le temps à y consacrer, les moyens humains et éventuellement financiers à y associer.
Une fois la stratégie lancée, il est important d’être attentif aux retours provenant des partenaires, bénéficiaires, mais aussi des médias sociaux, blogs ou forums. Ces retours permettront, en effet, d’ajuster les stratégies et messages lors de futurs projets de communication.
Télécharger le PDF ci-joint pour vous aider à définir votre stratégie de communication.
Dans la communication l’action de rédiger un texte se décline en plusieurs étapes liées aux différents supports. L’objectif est toujours de transmettre un message correct et clair, suivant une ligne directrice cohérente, mais chaque support demande un travail spécifique.
La signature, ou tagline, est une phrase courte et immuable qui est associée au logo. Elle va représenter la promesse et souvent donner des éléments complémentaires à la partie visuelle du logo. Lorsque le logo est un acronyme, on utilise généralement le nom entier comme tagline. On peut également choisir de mettre une courte phrase ou quelques mots-clés qui reprennent l’esprit de l’organisation.
L’accroche ou slogan, n’est pas forcément lié directement au logo. C’est une phrase concise et originale qui a pour but d’inscrire le nom de l’organisation dans la mentalité du grand public. Dans la plupart des cas, il traduit de manière impactante un état d’esprit, une “philosophie”, il doit faire ressortir l’originalité ou la force de votre organisation. Il peut être temporaire ou en lien avec une campagne de communication précise sur une action spécifique. Il donne des informations plus percutantes et peut prendre des aspects différents et/ou des tons plus ou moins sérieux selon les besoins.
Le corps de texte est l’argumentaire d’une annonce, le texte d’un dépliant, d’une brochure ou d’un site. Même s’il sera moins « spectaculaire » que l’accroche, il devra être correctement rédigé et suivre des règles précises. Une logique commune de structuration et de hiérarchie des contenus devra être développée pour l’ensemble des supports, les informations pourront ensuite être plus ou moins détaillées selon le format et le temps de lecture estimé.
Pour rédiger les textes, il est primordial de ne pas oublier que le lecteur ne connaît souvent rien de votre organisation et de la thématique traitée. Il faut donc expliquer les différents éléments de manière simple et organisée.
Le contenu rédactionnel du site internet est très important sur deux aspects: 1° Il regroupe l’ensemble des informations de l’organisation (présentation, actions, actualités, chiffres, contact, etc), soit une quantité souvent abondante qui peut rapidement devenir indigeste. Il est donc primordial de simplifier la lisibilité des textes en hiérarchisant les informations et en utilisant les différentes options de visualisation que propose ce support (onglets, accordéons, liens pdf, etc). Il est également important de créer dès le départ une structure bien réfléchie qui permette de ranger de manière logique et claire l’ensemble des contenus au fur et à mesure de l’évolution du site. 2° Le contenu rédactionnel doit également être pertinent pour optimiser le référencement du site (SEO), afin que les algorithmes d’indexation des moteurs de recherche (google, etc) le fassent apparaître dans les premières positions lorsque les personnes cherchent des contenus en lien avec l’organisation ou ses activités.
Le métier de concepteur-rédacteur consiste principalement à rédiger des textes adaptés et efficaces. N’hésitez donc pas, si vous le pouvez, à confier la rédaction de vos textes à des professionnels.
Pour tous les supports il est important d’effectuer une relecture intensive. Il y a toujours une faute qui nous échappe, en particulier sur les titres que l’on risque de négliger. L’idéal étant de faire relire l’ensemble finalisé à une personne qui n’a pas participé à la conception.
Télécharger le PDF ci-joint pour vous aider à définir la structure de votre dépliant.
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La traduction consiste à transposer un texte dans une autre langue. Elle est utile lorsque la visibilité de l’organisation se développe et que les supports de communication doivent être lisibles dans d’autres régions, pays, ou à l’international. Les traducteurs professionnels sont de véritables auteurs, leur expertise permet de restituer l’essence du message dans la langue souhaitée, avec la terminologie et le style adaptés. Attention, des traductions de mauvaise qualité peuvent nuire à l’image de l’organisation.
Il est important lors d’une demande de traduction de prendre conscience des différentes possibilités existantes dans ce domaine.
Les logiciels de traduction en ligne, proposés par les principaux moteurs de recherche, sont utiles pour pouvoir comprendre certains textes. Ils ne peuvent en aucun cas se substituer à une traduction professionnelle pour la création de supports de communication.
La traduction littérale est liée de manière lexicale aux mots de la langue d’origine, les éléments de la phrase sont réorganisés afin de créer une phrase grammaticalement correcte dans la langue de destination. Ce type de traduction convient parfaitement aux textes informatifs.
Cette qualité de traduction est incontournable pour les textes littéraires. Les textes traduits sont recréés pour s’adapter à la culture de la langue de destination, tout en maintenant l’idée originale du texte.
S’il n’y a pas d’autres possibilités que la traduction automatique, il est important de signaler sur vos supports que la traduction a été faite par ces logiciels et que cela a pu dénaturer un peu le message d’origine et peut expliquer certaines erreurs.
Afin de ne pas avoir de mauvaises surprises, il est préférable de demander des exemples de traductions dans la langue souhaitée au professionnel avant de commencer la collaboration.
Chaque traducteur à son expérience dans le domaine et la terminologie qui va avec. Il saura donc vous conseiller sur le type de traduction le plus recommandé pour le travail à effectuer.
Des images de qualité font partie de la base de la communication. Elles permettent de renforcer l’identité et apportent un message complémentaire, plus visuel. De manière générale, les photos diffusent prioritairement une image concrète ou symbolique de la réalité. Privilégier le travail avec un professionnel permet de constituer un ensemble de photos sur mesure, adapté aux besoins de l’organisation.
Le reportage photographique comprend une série de photos prises sur le terrain. Selon les thématiques, les sujets peuvent varier : portraits, activités, actions, équipe, contexte,… Ce type de photos diffuse une notion forte de réalité, de témoignages, de faits concrets.
Il s’agit de photographies qui ne sont pas prises sur le vif, comme lors d’un reportage, mais lors d’une séance préparée autour d’une thématique ou d’un concept préalablement définis. Cette séance peut avoir lieu en studio ou en extérieur. Les photos d’un photo-shooting sont souvent porteuses d’un message plus conceptuel et plus symbolique.
Il s’agit d’acheter des images déjà existantes et qui n’ont donc pas été spécialement produites pour l’organisation. Le recours à une banque d’images est une solution peu recommandée, car elle donne un résultat très impersonnel. Les images proposées sont souvent clichées et génériques afin de pouvoir être utilisées par le plus grand nombre. Elles sont rarement gratuites et les droits d’auteur à payer varient en fonction de leur utilisation.
Lors d’un reportage ou d’un photo-shooting, il est impératif d’avoir une autorisation signée des personnes qui apparaissent sur les photos. (cf modèle d’autorisation)
L’organisation d’un reportage photo ou d’un photo-shooting demande une préparation considérable en amont, principalement pour la partie opérationnelle (hébergement, autorisations, figurants, studio, matériel …). Il est important de collaborer étroitement avec le professionnel pour définir ensemble ces différents aspects.
Il est également important de réfléchir en amont et de lister les éléments, les sujets, les lieux qui devront figurer dans le reportage ou le shooting. Pour cela nous conseillons d’établir un brief de la mission photographique qui décrit l’ensemble des éléments à photographier et les conditions (par exemple si les personnes ne veulent ou ne doivent pas être reconnues sur les images).
Télécharger le modèle ci-joint pour établir un contrat pour un reportage photo ou un documentaire Télécharger le modèle ci-joint pour créer une autorisation de droit à l’image
Des images de qualité font partie de la base de la communication. Elles permettent de renforcer l’identité et apportent un message complémentaire, plus visuel. L’illustration permet de mettre en avant des projets basés sur des notions plus théoriques, plus complexes. Elle amène également une bonne solution pour des thématiques violentes ou pour représenter des personnes de manière simplifiée, sans genre, ni ethnie, afin de s’adresser à un public plus large. Le recours à un professionnel permet de constituer un ensemble d’illustrations sur mesure, adapté aux besoins de l’organisation.
Globalement, les illustrations peuvent être développées dans des styles très variés, au niveau des couleurs, du trait, du rythme, etc. De plus un même sujet ne sera pas lu de la même manière selon le ton qui sera utilisé : humoristique, romantique, sérieux, journalistique, etc.
Un dessin peut représenter visuellement, en deux dimensions, des personnages, des paysages, des objets ou alors de manière plus abstraite, un concept, une idée, une sensation, une émotion.
La bande dessinée permet de raconter une histoire grâce à une suite de dessins et de textes, principalement constitués de dialogues et de commentaires. Elle peut se réduire à une bande (soit un strip) ou se développer sur de nombreuses pages. Elle permet ainsi d’illustrer un scénario avec des évolutions, elle peut être plus ou moins réaliste selon le sujet.
Les illustrations infographiques utilisent principalement des graphiques, des chiffres et des pictogrammes pour mettre en image des informations plutôt techniques.
Le recours à une banque d’images est une solution peu recommandée, car elle donne un résultat très impersonnel. Les images proposées sont souvent très clichées et génériques afin de pouvoir être utilisées par le plus grand nombre. Elles sont rarement gratuites et les droits à l’image varient en fonction de leur utilisation.
Lors d’une collaboration standard, l’illustrateur, en tant qu’auteur, garde les droits sur les images créées. Des arrangements concernant l’utilisation des images peuvent être écrits dans un contrat signé entre les deux parties. (cf contrat de collaboration)
Il est important de réfléchir en amont et de lister les éléments, les sujets qui devront être illustrés, ainsi que le style, le ton qui devront être utilisés. Pour cela nous conseillons d’établir un brief qui décrit le nombre, les sujets et les conditions (illustrations en couleurs, taille souhaitée, etc).
Télécharger le PDF ci-joint pour vous aider à définir vos besoins en illustration.
Le logo (ou logotype) est la base de la communication visuelle de tout organisme. Il est est la représentation graphique de l’organisation. Il pourra être purement typographique, n’utiliser que des caractères d’imprimerie, modifiés ou pas, ou être complété par un élément visuel, signe ou symbole. Ce symbole représentera quelque chose par association, ressemblance ou convention. Il peut prendre plusieurs formes, il peut être un idéogramme ou un pictogramme. Un idéogramme est un signe qui représente un concept, et utilise par conséquent des signes symboliques pour des termes abstraits. Un pictogramme est la représentation extrêmement simplifiée d’un objet, d’un lieu, d’une activité , d’une consigne, d’une caractéristique, soit de notions plus concrètes.
Cette dénomination comprend principalement:
Ce peut être aussi un certain style d’images, photos ou illustrations, un jeu de proportions, un style de papier, etc. Le respect de l’ensemble de ces éléments visuels va participer à la création d’une identité visuelle forte, reconnaissable et en adéquation avec la personnalité de l’organisation.
C’est le document exhaustif qui va présenter tous les éléments qui composent l’identité graphique et leurs règles d’utilisation. Par exemple, présenter son logo avec les bonnes couleurs n’est pas suffisant. Il faudra aussi veiller à ce qu’il ait la bonne proportion en fonction du format et la bonne position dans ce format. Ce document sera confié auprès de tous les professionnels qui devront travailler à l’expression de l’ identité de l’organisation, comme par exemple, pour réaliser un dépliant, créer un site, ou habiller un véhicule, afin de garantir la cohérence graphique de l’ensemble.
Un set administratif désigne l’ensemble des documents « administratifs » qui permettront de communiquer de manière professionnelle au sujet de l’organisation, soit: les cartes de visite, les en-têtes de lettre, les enveloppes et les cartes de compliment.
Afin de faciliter la tâche du graphiste qui réalisera le logo, il est nécessaire de lui donner des informations sur l’association, soit de fournir un cahier des charges clair et précis. Plus les indications sur l’association et ses besoins, sur la liberté de création ou sur les impératifs à suivre seront explicites, plus la collaboration sera fructueuse!
Le logo est la base sur laquelle se pose toute la communication d’une organisation, il est donc vivement conseillé de collaborer avec un graphiste pour améliorer ou créer un logo de qualité, qui saura communiquer clairement l’identité de l’organisation et garantir sa longévité/pérennité.
Il est recommandé de faire des mises au point sur la conception du logo à chaque étape du processus créatif afin de choisir les options les plus adaptées et de développer la piste qui se rapproche le plus de l’image de l’organisation.
Lors du choix du logo, il est conseillé d’effectuer une vérification pour s’assurer que le logo est original et qu’il ne ressemble pas à un autre existant déjà. Pour une première vérification de l’originalité des images, vous pouvez importer l’image de votre logo dans “Google images” et regarder les résultats de la recherche par image.
Une fois le logo final validé, il est souhaitable de recevoir toutes les versions et variantes du logo, idéalement sous la forme d’une charte graphique, pour avoir des fichiers pour chaque support (réseaux sociaux, supports imprimés, etc) et les adaptations validées par le graphiste.
Télécharger le PDF ci-joint pour vous aider à définir votre brief logo.
Un site internet, site web, ou simplement site, est un ensemble de pages virtuelles et de ressources reliées par des hyperliens, défini et accessible par une adresse internet. L’ensemble des sites web constituent le World Wide Web. Le site est le support qui est accessible par tous et souvent la première vitrine d’une organisation. La structuration des informations, ainsi que les images et le design du site sont autant d’éléments qui maîtrisés vont transmettre un message professionnel et rassurant.
Le nom de domaine est l’adresse internet (appelé aussi URL), soit le nom et l’extension, que le visiteur doit entrer pour visualiser le site (www.exemple.com). Le nom de domaine se loue annuellement ou pour plusieurs années à des sociétés d’enregistrement. L’hébergeur est l’emplacement de stockage concret de votre site. Des sociétés louent des espaces sécurisés sur leurs serveurs, qui restent connectés 24/7, ce qui permet d’assurer l’affichage du site sans interruptions. Il existe plusieurs sortes d’hébergeur, plus ou moins coûteux, qui sont à choisir selon la taille ou les fonctionnalités de votre site.
Un template est un thème qui désigne l’enveloppe graphique d’un site, indépendamment de son contenu. Il s’agit par exemple de la disposition des colonnes, du choix des couleurs, de la police de caractère, de la structure des différents éléments sur les différents supports (smartphones, tablettes, ordinateurs), etc. Le CMS (Content Management System) est un système de gestion des contenus d’un site (textes, images, fonctionnalités, etc). WordPress est un CMS gratuit qui est actuellement le plus populaire et le plus utilisé. Une fois le site créer, ce système permet un accès facilité à l’administration du site, soit une possibilité de mise à jour des contenus relativement simple.
Un site web adaptatif est un site web dont la conception vise, grâce à différents principes et techniques, à offrir une consultation confortable pour des supports différents (ordinateur, tablette, téléphone). Cet aspect est devenu incontournable pour améliorer le référencement du site.
Le référencement naturel (appelé également SEO, Search Engine Optimization) a pour but d’améliorer votre classement dans les résultats de recherche tel que Google (mais aussi Yahoo, Bing, etc.) afin d’augmenter le trafic de visiteurs sur votre site web. 75 % des internautes recherche une information en commençant par un moteur de recherche. Il s’optimise en travaillant sur la structure, sur les terminologies (titres, etc) et sur les contenus texte.
Il est important de choisir un nom de domaine simple, direct et en lien avec le nom de votre organisation. La ou les extensions, “.org” et “.ong ou .ngo”, sont habituellement utilisées pour les organisations à but non-lucratif. Il est possible d’avoir plusieurs extensions, soit plusieurs adresses, qui pointent vers le même site. Il est conseillé de vérifier la disponibilité de l’adresse désirée dès la création d’une organisation. Des sites comme www.ovh.com/order/domain ou www.name.com permettent d’avoir accès aux adresses libres et au prix demandés (les prix peuvent varier selon l’extension choisie).
En tant que support de base de l’organisation, il est donc important que le site regroupe de manière structurée et hiérarchique l’ensemble des informations concernant l’organisation que l’on souhaite mettre en valeur : sa mission, sa vision, ses projets, ses réalisations, etc. L’organisation est chargée de fournir tous les contenus de base (textes pour chaque page, photographies/illustrations, vidéos, etc).
La structure principale du site (nombre de langues, page d’accueil, types de menu, etc) doit être fixée dès le départ en fonction des contenus à mettre en valeur. Les éléments qui seront amenés à évoluer doivent être signalés et réfléchis afin de faciliter l’actualisation future des contenus par l’organisation. (cf modèle de structure à télécharger ci-dessous)
Un site gagne en attractivité, en ajoutant des actualités ou un nouveau projet. Il est donc essentiel pour l’organisation de pouvoir modifier ou créer certains contenus de manière autonome. Cela doit être défini dès le départ avec le professionnel afin de construire le site sur un template permettant cette autonomie (comme wordpress par exemple).
Le site peut être en plusieurs langues (les textes doivent être conclus dans la langue principale, avant de commencer la mise en place des pages pour les autres langues.)
Télécharger le PDF ci-joint pour vous aider à définir la structure de votre site internet.
Les flyers et les dépliants sont des supports de communication imprimés, de format réduit et destinés à un public large. Ils peuvent être distribués lors de manifestations, d’évènements, dans la rue, ou dans les boîtes aux lettres, à disposition dans des cafés ou certains lieux publics, ou encartés dans des journaux. Leur but principal est de faire connaître l’organisation, un projet précis ou un évènement spécifique.
Aussi désigné comme prospectus ou tract, il s’agit d’un document papier habituellement de format A5 ou A6, imprimé recto simple ou recto-verso. Le flyer est souvent utilisé pour une action avec une courte durée dans le temps (évènement, etc). Son contenu est simple, direct et schématique.
Le dépliant est généralement le document imprimé de référence pour présenter une organisation. Il peut se présenter sous différentes formes, comportant plusieurs pages. Les formats classiques sont: un 4 pages A5 (feuille A4 pliée en deux volets), un 6 pages (3 volets, 2 plis) ou même un 8 pages (4 volets, 3 plis). Le nombre de volets est choisi en fonction de la quantité d’informations qu’il sera nécessaire de faire figurer. Ces deux supports sont relativement bon marché. Jusqu’à un tirage d’environ 1000 exemplaires (micro-édition), on choisira une impression numérique. Au-delà, il est préférable d’imprimer en offset. Pour les dépliants, il faudra compter un coût supplémentaire engendré par le façonnage (plis et coupe).
Pour tout objet imprimé il est important d’effectuer une relecture intensive. Il y a toujours une faute qui nous échappe, en particulier sur les titres que l’on risque de négliger. L’idéal étant de faire relire l’ensemble finalisé à une personne qui n’a pas participé à la conception.
Si le dépliant (ou le flyer) est destiné à être envoyé par courrier postal, il est conseillé de se renseigner sur les coûts en fonction du format. Habituellement le format A5 respecte les conditions standards, il serait donc préférable de ne pas dépasser les dimensions de 14.85 x 21 cm.
Télécharger le PDF ci-joint pour vous aider à définir la structure de votre dépliant.
L’affiches et le roll-up sont avant tout de grands supports de communication imprimés. L’objectif est d’attirer l’attention, de créer l’intérêt pour inciter le visiteur ou le passant à vouloir en savoir plus. L’aspect visuel est primordial, les informations détaillées sont ici secondaires. Il faut donc travailler avec une belle photo ou illustration, pas trop complexe, avec de forts contrastes, ou avec une composition typographique puissante, c’est à dire une phrase très courte composée d’un caractère plutôt gras, créant un motif harmonieux tout en étant très lisible.
est destinée à être imprimée en plusieurs exemplaires et placée sur des emplacements fixes (panneaux publicitaires, murs, vitrines) ou mobiles (véhicules). C’est un support régulièrement utilisé lors de campagne pour le grand-public.
est un dispositif démontable, posé sur le sol, qui permet de faire tenir tout seul un assez grand visuel (environ 1 mètre par 2). Il pourra faire partie de l’aménagement d’un stand ou d’un local. A la différence de l’affiche, il est réutilisable. Comme il est posé à-même le sol, il faudra veiller à placer les informations importantes (logo, slogan, etc.) sur la moitié supérieure du format.
– Comme il s’agit de grands formats, il faudra veiller à ce que la résolution des images utilisées soit suffisante (selon le support, demander la résolution optimale à l’imprimeur au préalable).
Pour tout objet imprimé il est important d’effectuer une relecture intensive. Il y a toujours une faute qui nous échappe, en particulier sur les titres que l’on risque de négliger. L’idéal étant de faire relire l’ensemble finalisé à une personne qui n’a pas participé à la conception.
– Avant de réaliser une affiche il est important de se renseigner sur les possibilités et les coûts d’affichage, ainsi que d’impression, afin de définir une stratégie adaptée aux moyens de l’organisation.
La brochure, aussi appelée « plaquette », « prospectus », « publication » ou « livret », est un document papier qui comporte plusieurs pages (minimum 8 pages) brochées entre elles. Son format ainsi que le choix du papier sont variables, adaptés en fonction de sa finalité, de son contenu et des moyens à disposition. Le rapport est un type de brochure, souvent utilisé par les organisations pour les informations annuelles (RA) ou pour renseigner sur les activités d’un projet spécifique. Ces supports sont habituellement utilisés pour la recherche de fonds ou de partenariats.
Ce document contient des informations complètes sur l’organisation et ses activités ou sur le projet choisi. La structuration et la hiérarchisation des contenus sont donc importantes pour ne pas perdre le lecteur. Un sommaire est souvent utilisé en introduction afin de présenter les différents contenus. Une brochure est souvent riche en illustrations ou en photographies.
L’impression de ce genre de document peut être coûteux, il est important de penser à cet aspect au moment de la conception. Avec l’aide du graphiste et de l’imprimeur vous pouvez trouver le format, le nombre de page et de couleurs qui permettent le meilleur rapport qualité/prix. Les moyens de distribution et la cible du support sont autant d’informations qui aident également à réfléchir aux options les plus adaptées.
Un rapport annuel, par exemple, a souvent une structure similaire d’une année à l’autre. Il peut être judicieux d’établir au départ avec le graphiste une maquette graphique qui pourra être réutilisable les années suivantes en adaptant les contenus textes et images.
Pour tout objet imprimé il est important d’effectuer une relecture intensive. Il y a toujours une faute qui nous échappe, en particulier sur les titres que l’on risque de négliger. L’idéal serait de faire relire l’ensemble finalisé à une personne qui n’a pas participé à la conception.
Un réseau social est une plateforme web d’échange et de partage, réunissant un public international constitué de personnes morales (entreprises, partis politiques, organisations humanitaires…) et physiques (individus). Les réseaux sociaux sont devenus un outil indispensable de communication, car ils permettent de construire et maintenir une relation de confiance et de proximité entre l’organisation et sa communauté.
Une présence active sur un réseau social permet à une organisation de communiquer de façon directe et instantanée avec une large audience, dénommée “communauté”, qui partage les mêmes centres d’intérêt.
Les personnes qui suivent une page ou un compte sur les réseaux sociaux sont communément appelées “followers” et peuvent interagir de différentes manières entre elles et avec l’organisation : aimer, commenter et partager le contenu des “posts“ publiés.
Facebook, Instagram, Twitter, You Tube, LinkedIn
Compte tenu des ressources humaines, du temps et du budget qui peuvent être consacrés à l’animation d’une page, il est recommandé de concentrer sa présence sur 1 à 3 plateforme(s) seulement, dans le but d’optimiser son impact et son efficacité.
L’engagement d’une communauté et l’image d’une organisation via les réseaux sociaux dépend d’une part de la pertinence des sujets abordés, d’autre part de la qualité et de la régularité des contenus publiés (visuels et textes à soigner).
Suivre les comptes d’autres organisations actives dans des domaines connexes et les comptes des partenaires institutionnels permet de profiter de l’effet de réseau pour renforcer sa notoriété en captant l’attention de leur audience déjà établie.
Pour plus d’informations sur les réseaux sociaux, télécharger le PDF ci-joint.
La newsletter est une lettre d’information périodique envoyée par e-mail à ses interlocuteurs principaux. Le contenu d’une newsletter est élaboré pour susciter l’intérêt d’une cible particulière (donateurs, ambassadeurs, partenaires), en fonction de leurs centres d’intérêt et des attentes de l’Organisation : visite vers le site Internet, appel aux dons, inscription à un événement.
La newsletter constitue un moyen efficace d’élargir et de fidéliser son réseau en maintenant un contact régulier et de proximité. Elle permet à l’organisation de faire connaître ses activités à un large public puisque les contenus de la newsletter peuvent être partagés par ses abonnés (transfert par mail) ou via ses plateformes web (site Internet, réseaux sociaux). Le but d’une newsletter est de transmettre des informations et de communiquer sur les dernières actualités d’une organisation : réalisations, événements, nouveaux partenariats, changements organisationnels et structurels, etc.
Construire et mettre à jour une base de données (liste de contacts), la plus complète possible (genre, prénom, nom, fonction…)
Afin de gagner en efficacité il est important de définir son audience, la fréquence d’envoi et les thématiques qui seront abordées. Il est également essentiel de soigner la rédaction et la mise en page en axant sur la simplicité.
– Exemples d’outils Pour la création et diffusion de newsletter:
De manière générale, une vidéo, ou un film, est une succession d’images. En affichant plus de 24 ou 25 images/seconde, on donne l’illusion de mouvement. La vidéo est généralement accompagnée de son, c’est-à-dire de données audio. Un documentaire est avant tout un point de vue sur le monde. En l’occurence, le point de vue du réalisateur, mais également de l’auteur. Contrairement à la fiction, le documentaire se base sur le réel : on va interviewer des personnes existantes (ou travailler avec des archives), filmer des actions réelles. On va construire une narration à partir de ces matériaux, narration qui appuie la thèse du réalisateur. Un documentaire, c’est donc avant tout un point de vue argumenté, étayé de faits réels. Un documentaire utilise les codes du récit pour donner à voir des personnages, qui évoluent, rencontrent des difficultés, changent leur rapport au monde par les péripéties qu’ils rencontrent. Le reportage est factuel : c’est du journalisme. Il est donc plus descriptif et objectif (dans la mesure du possible) que le documentaire. Il doit être étayé pour être crédible. La vidéo de communication, comme tout outil de communication, a pour but de transmettre un message. La cible doit être définie à l’avance, ainsi que l’objectif de communication. La vidéo doit être traitée de manière convaincante, afin de provoquer une action (changement de conception sur un sujet – campagne de sensibilisation ; récolte de fonds, trouver des bénévoles, présenter ses activités,…). Il est possible de convaincre par le rationnel, le storytelling ou l’émotion.
Un documentaire peut être décliné sur n’importe quelle durée. Les 3 formats principaux sont : 26 min, 52 min (format phare de la TV), 90 min (pour le cinéma).
C’est une forme de narration qui permet l’interaction avec son audience. En effet, sa construction permet d’aborder divers sujets et de raconter plusieurs histoires sur un seul support. Les utilisateurs naviguent d’un sujet à l’autre et interagissent ainsi avec le contenu du support vidéo, la chronologie n’est plus imposée, mais choisie par le spectateur.
Le format idéal est plutôt court afin de capter son audience et ne pas la perdre en cours de visualisation. Une vidéo de présentation pour une conférence ou des rencontres peut durer jusqu’à 5 min. Pour de l’emailing, elle peut durer 1 ou 2 min. Une vidéo pour les réseaux sociaux doit, elle, être très courte (15 sec à 45 sec en moyenne). En effet, il a été démontré que parmi une audience, il n’y a que 80% qui va cliquer et regarder une vidéo de 0-30sec. Le taux descend à 60% pour une vidéo de 3-4mn.
Avant de réaliser une vidéo ou un documentaire, il est impératif de réfléchir en amont à l’objectif visé, au public-cible et aux moyens de diffusion (télévision, cinéma, web, etc). Ces aspects sont à discuter avec le réalisateur de la vidéo pour définir au mieux le format, la manière d’aborder le sujet et développer ensemble un story-board adapté.
Pour tout support visuel, un soin particulier doit être porté sur une bonne qualité du son et de l’image. L’objectif étant de transmettre un message de professionnalisme.
Il a été constaté qu’ajouter des sous-titres à une vidéo permet non seulement de toucher une audience plus large mais également d’améliorer le référencement naturel (SEO).
Une fois la vidéo terminée, seulement la moitié du travail est effectuée. Il faut en effet ensuite la faire vivre! La partager sur les réseaux sociaux, la montrer, la mettre en signature de mail (si pertinent), sur le site de l’organisation, avoir recours aux relations publiques externes. Il est recommandé d’avoir un petit budget de diffusion (sur facebook, youtube, ou autre, en fonction de la cible) et d’être prêt à y consacrer un peu de temps !
L’organisation peut créer un compte sur une « chaîne » spécifique, comme Youtube ou Vimeo, pour augmenter la visibilité de la vidéo et faciliter son partage sur le web.
une préparation importante en amont afin d’être au clair sur ce qui doit être communiqué
Il est conseillé:
une écoute attentive afin de bien comprendre les enjeux, les sensibilités et les spécificités de chaque organisation
Il est conseillé:
Il est conseillé:
Pérenniser la collaboration L’aboutissement du Projet gagne d’autant plus en garantie lorsqu’il ne dépend pas seulement d’une confiance personnelle, mais d’un engagement concret et d’un document signé. Pour le professionnel, le fait que l’Organisation s’engage formellement en tant que structure et non en tant que personne physique permet de ne pas remettre en question le Projet lors d’un éventuel changement d’équipe. Définir la collaboration Un contrat gagne en efficacité lorsque les plus petits détails ont été pensés, discutés, définis et inscrits dans le document. Celui-ci devient ainsi une référence pour l’Organisation et le Professionnel. Engager légalement les parties signataires Un contrat autorise, en cas de non-exécution des obligations de l’une des parties, un recours devant un tribunal. Cet aspect n’est pas la priorité du contrat pour Tuttimundi, mais le fait d’établir un document écrit, co-signé par l’Organisation et le Professionnel, impose de cadrer le Projet et de conférer du sérieux à la collaboration. Vous trouverez ci-dessous des modèles de contrat qui ont été développés pour des collaborations bénévoles entre organisations et professionnels de la communication. Le but étant de vous proposer des exemples que vous pourrez ensuite adapter à vos différents besoins. TUTTIMUNDI décline toutefois toute responsabilité concernant l’utilisation de ces contrats.
Télécharger le modèle ci-joint pour établir un contrat avec une organisation Télécharger le modèle ci-joint pour établir un contrat avec un professionnel Télécharger le modèle ci-joint pour établir un contrat pour un reportage photo ou un documentaire Télécharger le modèle ci-joint pour créer une autorisation de droit à l’image
Trouver d’autres organismes également basés sur le bénévolat de compétences ou à tarifs solidaires…
Créée en 2002, Passerelles & Compétences met en relation des associations de solidarité et des professionnels, dans le cadre de missions ponctuelles bénévoles. www.passerellesetcompetences.org
Vidéos à tarif adapté pour asso/ONG/entreprises sociales. Prestations pour fondations, départements RSE/DD, start ups. Programmes TV sur thèmes sociétaux. www.in-focus.social